Un des sentiments le plus partagé par les visiteurs que je reçois lors de mes visites guidées de Glasgow est la perplexité. Qu’ils ou elles arrivent de France, de Belgique, de Québec ou d’autres pays francophones, c’est souvent la même histoire : “on ne s’attendait pas à cela !”.
C’est vrai que quand on arrive à Glasgow, la ville a de quoi étonner : industrielle, bruyante, elle est aussi composée d’un micmac d’architecture de tous les styles ! Si bien que l’on se retrouve régulièrement avec des sentiments contradictoires.
Encore aujourd’hui, au gré de mes balades, la ville m’étonne dans sa capacité à se réinventer, dans l’humour de ses habitants et l’incongruité des scènes de vie.
Je me retrouve bien souvent sous le choc de l’émotion à la vue d’un détail architectural que je n’avais pas encore remarqué ou au son des buskers, ces musiciens de rue souvent excellents.
Je pense que c’est justement le super pouvoir de Glasgow, on est toujours surpris par ce qui peut y arriver !
Le meilleur choix pour découvrir la ville : se faire accompagner !
Avec une guide, vous aurez la possibilité d’échanger en français sur ce que vous voyez. Vous êtes nombreux·ses à maîtriser des rudiments d’anglais ! On en profite d’ailleurs parfois pour réviser quelques mots ensembles. Mais pour celles et ceux qui ne veulent rien louper et préfèrent une visite guidée de Glasgow en français, Heritage Alley est la solution.
Vous pourrez ainsi poser les questions que vous n’auriez jamais osé demander par peur de gêner. Je ne prétends pas tout connaître – les heures de lectures sur mille et un sujets me persuadent chaque jour de l’immensité de la tâche – mais j’essaierai de vous expliquer au mieux et de façon documentée.
Et puis vous pourrez aussi découvrir des endroits où vous ne seriez jamais allés tout seuls ! Combien de fois n’ai-je pas entendu “oh la la je n’aurai jamais vu ça si je n’étais pas avec vous !“. Ces mots déclenchent mon plus grand sourire : ils prouvent l’utilité de mon travail avec vous !
Je peux certes, vous emmener à la découverte des classiques : la superbe Cathédrale médiévale, la Necropolis du 19ème siècle ou encore sillonner l’ouest et ses quartiers universitaires somptueux. Mais je peux aussi vous en dire plus sur le Street Art ou sur le passé industriel de la ville, si important, si riche ! Et ce ne sont que quelques exemples.
Comment réserver votre visite guidée de Glasgow ?
Tout d’abord, la réservation !
Vous avez le choix : vous pouvez opter pour les visites toutes prêtes sur des thèmes précis ou bien vous faire plaisir avec une visite sur-mesure, adaptée à vos envies et besoins.
Les visites toutes prêtes peuvent être réservées en format visite publique (partagée avec d’autres visiteurs·euses) ou en format visite privée (rien que vous et moi et une flexibilité sur les horaires). Le prix est de £18 pour un adulte en visite publique et £115 pour une visite privée jusqu’à 8 personnes (hors frais de réservation en ligne).
Les visites sur-mesures sont elles très flexibles. Vous pouvez par exemple combiner plusieurs visites qui vous plaisent ! On peut aussi ajuster la durée qui vous plait le mieux, et je peux également vous proposer des thèmes personnalisés ou liés à vos besoins. Mixer le Street art à la visite historique par exemple, ou mettre l’accent sur l’architecture, les coutumes ou spécialités locales, l’art, etc… Ces visites sont toujours passionnantes car elles me demandent de m’adapter au mieux et de réaliser des recherches supplémentaires. Pour cette raison, le prix est plus élevé : à partir de £130.
Le jour de la visite : Glasgow se dévoile à vous
Ensuite, arrive le jour de la visite !
Je vous accueille au lieu de rencontre, vous indique les toilettes accessibles si besoin (et possible), puis je vous sers généralement une petite présentation de ma démarche et hop, c’est parti pour la visite !
Au programme : minimum deux heures d’explications sur la ville et les murs qui la contiennent, mais surtout sur les personnes qui l’ont façonnée et ceux qui y vivent aujourd’hui. On aborde l’histoire des bâtiments, mais aussi l’histoire sociale, on ébauche celles des mouvements culturels, on rit de l’audace des Glaswegiens.
On parle aussi du moins drôle, des liens de la ville avec l’esclavage ou la dureté des conditions de vie au fil des siècles mais tout ça nous permet de saisir plus profondément la complexité de cette ville écossaise si importante, on le verra.
Enfin, à la fin de la visite, je vous dépose à un endroit proche d’un service de transport en commun et vous souhaite la bonne aventure, après vous avoir fourni tout plein d’indications personnalisées.
Généralement, à ce moment là, j’ai l’impression de vous connaître et parfois du mal à quitter les bons amis que je viens de me faire ! Mais vient le temps pour moi d’aller souffler et de me restaurer en repensant aux blagues à deux sous que j’ai osé lancer.
Mais il me tarde toujours de recommencer !
